Cuba ou bayahibe?

Hola a todos,

en vue de prochaine vacances pour janvier, février 2007...je suis entrain d'étudier plusieurs destinations! Et j'ai besoin de votre aide!

Je connais Bayahibe (que j'adore) ! Et on hésite de retourner à Bayahibe ou changer de destination!

Qui est déjà allée à cuba, comment est la mer ? Turquoise? Et l'ambiance de là-bas ? Quel endroit est conseiller à Cuba! Enfin je vous en demande pas mal...sorry!

Hola Karin ! Que tal ?

Tu trouveras à Cuba des plages encores plus belles [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] qu'à Bayahibe avec des kilomètres de sable blanc longeant une eau turquoise et critalline.

L'ambiance ? Zone caraïbes avec ce que cela implique [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image], mais beaucoup y vont justement pour cette chaleur qu'ont les cubains.

Mis à part les plages, La Havane, et favoriser au maximum les contacts avec la population locale, il semble qu'il n'y ait pas grand chose à découvrir là-bas [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]. C'est ce qui m'a toujours retenu au moment de réserver.

Beaucoup adorent, d'autres sont revenus déçus... A toi de voir, mais peut-on comparer Bayahibe et Cuba ? D'autre part, as-tu pensé à la Jamaïque ?

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Si muy bien!

merci pour ta réponse...ça me donne envie Cuba! Jamaïque j'y ai pensé...mais mon ami n'est pas très motivé pour cette destination...alors j'élimine!

Maintenant je vais attendre les prix...et je vais devoir choisir!!!! Quel dilemne! Voilà le problème avec la République dominicaine....on adore tellement qu'on a envie d'y retourner sans arrêt! Quel pays merveilleux...on ne le dira jamais assez!

Enfin Cuba a l'air pas mal du tout...si les plages sont bellles! Et surtout le peuple chaleureux...c'est ce qui me plait le plus en Républque! De plus, 2 amis viennent avec nous...alors j'ai aussi envie de leur faire découvrir la RD! Je vais devoir me décider...je vous retiendrai au courant quand j'aurai réserver!

Bon je vais écouter un peu de Merengue...ça m'aidera peut-être!

Karin a écrit:

Cuba a l'air pas mal du tout...si les plages sont bellles!

Sur ce point, aucun doute.

Karin a écrit:

Et surtout le peuple chaleureux...c'est ce qui me plait le plus en Républque!

Là, c'est moins évident en fonction de qui tu interroges. D'aucuns te diront que le peuple cubain est fantastique, d'autres te diront qu'il est juste "intéressé"...

Maintenant, pour revenir à la RD, il n'y a pas que Bayahibe. Si tu veux des plages sublimes, une zone encore "authentique" et un contact chaleureux, va jeter un oeil du côté de Samana.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Merci Nicole pour toutes ces informations!!!!

16 fois à Cuba...et bien...ça doit être génial alors! Et je peux te demander plein de conseils

Je pense partir en janvier 2007 (mais bon j'hésite...peut-être que ce sera Bayahibe à nouveau!!! )...
Une question que je me pose, c'est que tout le monde me dit que les plages sont magnifiques, mais au niveau de la mer c'est l'océan atlantique non au nord????
Donc eau plus froide et plus agitée ?

Est-ce que la zone touristique de Varadero est bien? On m'a dit que c'était un peu Punta Cana...c'est à dire rien à faire autour?

Je t'en pose des questions....Sorry!
Hasta luego!

Bonjour,

J'arrive un peu tard pour répondre mais je suis nouvelle sur le forum que je parcours et je m'y émerveille Bravo pour le travail et l'ambiance qui y règne !!!!!!!!!

Alors, je ne connais pas encore Bayahibé je n'y pars que le 25 de ce mois mais j'ai été à Cuba en Juin de cette année, et c'est magnifique !!!! c'est vrai que Varadero c'est un peu l'usine à touriste mais les plages !!!! Bon sang quelle splendeur...........sable fin blanc des palmiers partout sur les plages, des levers de soleil MAGNIFIQUES !!!!! oh j'en rêve encore,
Sur 8 jours il n'y à eu qu'un jour où l'océan à été sauvage, le reste on a eu une mer d'huile !!!!
Pour les visites, La Havane vaut vraiment le coup !!!! mais il faut plusieurs jours pour pouvoir en profiter autrement c'est la course........ Et on rate plein de choses. J'ai eu la chance d'avoir une guide Cubaine qui parlait le francais à la perfection et qui AIMAIT son métier !!!!
Je n'y ai été que 8 jours pour voir si ca me plairait, mais il est certain que j'y retournerai et la Havane sera le point central de mon voyage cette fois-ci. Elle est tellement riche d'histoire, de beautés, de musées, d'ambiance.....!!!
Pour ceux que cela intéresse, j'ai de belles photos à montrer mais il faudrait que je fasse un album où un blog ce serait plus simple. Pour le moment c'est encore sur CD. Il faut dire que je voyage beaucoup ( rien que cette année, je suis allée au Kenya en Mars, à Cuba en Juin et maintenant Bayahibé) et je n'ai pas toujours le temps nécessaire pour faire des albums mais maintenant que j'ai trouvé ce forum je crois que ca va changer, parce que si j'aime avoir des renseignements de tout genre avant de partir, je trouve normal d'en donner et de faire profiter les autres de ma petite expérience personnelle. Amicalement à vous tous.

Et bien moi je vais donner mon opinion sur 2 pays forts différents l'un de l'autre. Je vais faire choquer des gens c'est sur avec les propos que je vais dire ici. ce sont cependant des choses qui frappent lors de 2 voyages assez rapproché à ces endroits( Cuba/République Dominicaine). Je ne peux répondre à ta question précisément mais je peux en répondre à une semblabe. Ma nouvelle question serait : Cuba ou RD. Personnellement j'ai fait ces 2 destination cet année. Je n'ai passé à Bayahibe qu'un istant. Nous sommes passé, par Bayahibe pour aller à Saona. Je suis aller à Punta Cana cet hiver et à Holguin, Cuba il y'a 1 sem. Les 2 endroits sont très bien en passant mais certains aspects sont forts différents.

Je crois premièrement que la mentalité des gens(habitants de ces pays) est fort différente selon le régime politique en place. Cuba a un régime Socialiste avec des influence communiste et punta la RD est quand à elle Capitaliste.

Cet aspect a quand à moi une grande influence sur plusieurs points. Je m'explique...


1-À Cuba les gens sont moins accés sur $$$. En RD c'est le Capilalisme comme nous sommes habitués de voir les Ocidentaux. Cuba tout le monde est égal, Y'a pas de stress et personne n'est plus important qu'un autre. En RD, le touriste a un importance de p^lus que la population. De plus si tu es touriste plus tu as $$$ et mieux tu es triaté. Plus vite tu vas être servi plus vite.

Si je peux donner mon opinion sur les 2 pays et bien: Cuba est en arrière sur le plan développement touritique sur la RD. Ce pays fait en sorte de bien servir ses touriste et y'mettent le paquet.


2-Si vous regardez mes photos et bien vous allez pouvoir constater que tous les équipement trouver sur place sont de haute qualité. Que se soit : catamarans, mini-Jeep, autobus de transport, etc. dans ce pays tout est stictement contrôler par l'État. rien n'est alisser au entrprises et aux compagnies à 100%. L'État se garde un certain pouvoir de contrôle sur tout. En RD et bien il est possible de faire affaire avec des gens de mauvaises foie. À Cuba oui il est possible de se faire avoir mais vos chances sont moins grandes. Le pays va retrappé le retard c'est sur un jour.


3-La RD est donc un endroit de villégiatures en avance selon moi. Si vous regardez la qualité de vie de ses habitants et bien elle est selon moi supérieur à Cuba.


4-Pour ce qui est de la nourriture comme Nicole a dit: ce n'est pas le point fort de Cuba. J'ai remarqué que là c'est le strict minimum. Il n'y a presque pas de gaspillage et de perte. Au buffet de notre hôtel seulement 8 plats. Oui il y'avait des comptoires de toutes sortes mais pas avec de l'abus comme à Punta Cana. À Punta Cana c'est l'abondance voir même l'exagération certaines fois. Il y'a de nombreuses tables avec des centaines de plats différents. Cette situation ne se retouve pas à Holguin, Cuba.

5-Pour ce qui est des paysages: La RD est en avance selon moi par ses palmiers. À Holguin, Cuba les palmiers sont en moins grands nombres. Pour ce qui est du sable et de l'eau elle est égale. La qualité de l'eau est supérieur à Cuba et le nombre de poissons observé est plus grand à Cuba.

6-Les gens de Cuba sont plus chaleureux que ceux des environ de punta Cana. Cet aspect peut provenir selon moi du régime politique en place. À Cuba c'est un régfime Socialiste où tous les gens sont égaux. Personne n'est plus important qu'un autre. Que tu sois docteur, paysant, policier, etc tu es pareil. Je n'ai pas trouvé ça en RD. Les écarts sont plus frappants en RD qu'à Cuba.


7-Sur le plan touristique oui la RD est en avance. Ça dépend selon moi ce que vous recherchez. Cuba va rattrapé les autres pays un jour mais la RD est en avance sur le plan touristique. La RD fonctionne sur régime capitaliste. les entreprises et les riches contrôle tout. L'État est corompu par bout. Si tu as de $$$ et bien tu as de meilleurs services. pour un voyages tout compris la RD est en avance sur Cuba.


P.S. Nous allons un jour retourner dans un tout inclus en RD car c'est ce que nous recherchons. Les paysages, resorts, palmiers sont plus beaux en RD. Nous allons également retourner à Cuba un jour mais ces 2 pays sont forts différents selon moi.

Je ne veux pas partir ici un débat mais les différences sont frapantes une fois rendues sur place. Je ne dis pas ici qu'n endroits est meilleur qu'un autre. il faut cependant regarder quelle sorte de voyage on veut faire, ce qu'on veut et où l'on veut aller...


Nous allons retourner dans ces 2 pays là mais avec un approche et des attentes différentes...

Tu as probablement raison,............... Tu dis certaines choses qui nous ont étés dites par notre Guide Cubaine. Je retournerais de toute façon à Cuba, La Havane en vaut vraiment le coup, et les plages comme tu le dis sont superbes !!!!
Mais pour ma part, c'est de la République Dominicaine que je suis tombée amoureuse et pas de Cuba !!!!
C'est bien simple quand je pense soleil je pense d'abord République Dominicaine !!!!

Bonjour et merci pour tes comparaisons sur les deux pays, c'est très intéressant. Je ne saurais te contredire car je connais pas Cuba, j'avais juste pu lire sur d'autres forums qu'à Cuba les pourboires étaient beaucoup à la mode qu'en RD.
A+

Nous avons été dans un 4* + là (Occidental grand Playa Turquesa)Holguin, Cuba du 19-26 août 2007. Les gens(cubains) nous ont expliqué plusieurs aspects de la vie normal d'un résident cubain. Nicole va pouvoir nous dire si c'est vrai ou si c'est faut. J'ai étudier en politique et en sociologie moi; le sujet du régime politique en place, m'a beaucoup intéressé rendu là. J'ai joué à l'historien avec les gens de la place. Je me suis intéressé à plusieurs sujet comme: histoire, Embargot politique des États-Unis, régime de santé, éducation, police, armée, transport en commun, développement touristique, géographie, agriculture, etc. Je vais traité de ces sujets si vous le désirez. C'est encore frais dans ma mémoire car ça fait juste 2 sem que nous sommes revenu de ce beau mais de ce pays spécial...


C'était la première fois que je mettais les pieds sur le sol d'un pays Socialiste voir des fois (communiste). J'ai même failli y'rester avec mon histoire de GPS. Maintenant, nous en rions ma belle famille et moi.


Pour ce qui est des pourboires est-ce que vous savez que tout cubain honnête est dans l'obligation de séparer ses pourboires avec ses confrères et consoeur de travail. Et oui si vous donner de $$$ à un employé du resort en question et bien si celui-ci est de bonne fois il va devoir le séparer avec les autres. Si vous donner de $$$ et bien en plus il faut le donner en (pesos convertible), car un touriste ne peu utiliser de pesos cubains. L'employé en question lui est résident et ne peut utiliser cet argent. C'est une sorte de protection pour l'État de contrôler ses employé pour ne pas qu'ils volent les touristes. C'est un aspect assez spécial car il est impossible pour un emplyé de garder cet $$$ là pour lui. Il doit se rendre à la banque ou à son emplyeur pour échanger les pesos convertibles en pesos cubains.

Nous avons demandé à nos 2 serveuses préférée ce qu'elles aimaient mieux recevoir et elles nous ont dis sans hésitations des cadeaux matériel au lieu de $$$. Elles nous ont alors dis que si nous les payons en pesos convertibles ou en devises étrangères elle devaient de toute façon aller l'échanger et le partager avec les autres. Ce n'est pas fini si vous donner des cadeaux matériel vous allez devoir vous rendre vous même à la barrière de sécurité et d'entrée de l'hôtel pour dire aux gardiens et policiers sur place que vous donnez vous même à l'employé en question les cadeaux. C'est une espèce de méfiance de la part de l'État que je trouve assez spécial. pour moi ce contrôle quasi absolu de l'État sur la vie privée serait insuportable.


Les cubains sont habitué comme ça. la plupart des habitants sont né sous ce régime politique. il es alors normal pour eux de vivre ainsi. J'ai demandé à plusieurs si ils aimaient Cuba. pour la majorité ils adoraient leur pays. Lrosque je comptais les différence avec nos mode de vies de Canandiens et bien ils me regardaient comme si j'étais un extra-terrestre et riaient de moi...

Pesos convertibles: $ pour les touriste et pour le développement touristique.

Pesos Cubains: $ destiné à la population Cubaine. Les deux devise n'ont pas la même valeur.


Le pays (cuba) est tellement conservateur que $ ne peut pas sortir du pays. Il est impossible de se procurer pour nous touriste des pesos convertible chez-nous et à l'extérieur de Cuba. C'est un des seul pays qui interdise que l'on sorte sa monnaie de son pays. À l'aéroport vous allez trouver des banques qui vous donnent et vous reprennent votre $ à votre départ. À Holguin il est indiquer et le douanier en place nous a bien dit qu'il était interdit de traverser de $$$ de l'autre coté du point de contrôle. C'est un pays assez spécial. Les touriste se sentent un peu contrôler pour tout mais les gens de la place sont habituer.


Pour ce qui est des transports en communs. Cuba a un systême de transport des plus efficace mais des plus bizzard que j'ai eu la chance de voir. Les gens ont des plaques d'immatriculation comme nous sur les voitures. Ça y'a pas de problèmes. Vous allez remarquer si vous allez à Cuba que les voitures ont 3 sorte de plaques. Rouges, bleues et jaunes.


Cest couleurs ont un importance assez spécial...


Rouges: voitures destinées aux touriste. Aucun Cubain n'est autoriser à monter à bord de ces véhicule à moins d'y travailler.

Bleues: voitures pour les résidents de Cuba mais que les policiers et contrôleurs routier peuve réquisitionner pour le transport des habitants. Et oui tous les gens qui désire voyager d'un endroit à un autre marche sur le bord des routes à cuba. Pour bénificier du transport en commun ils doivent se rendre à une intersection. Aux intersections achalander se trouve les policiers, contrôleurs routier. Ceux-ci ont pour mandat de faire arrêter les gens et servir de tranport quand il en est possible. Ils ne surcharge pas les voitures des gens mais oblige les conducteurs à arrêter et à embarquer les gens. Si l'on ne s'arrête pas nous sommes passible de peines pouvant être de + en + sévères. Les gens de Cuba qui ont des plaques bleues repectent cette politique.


Jaunes: ce sont les plaques pour les véhicules de transports en commun. Vous allez y retrouver un peu mais très peu d'autobus destinné à la population. Vous allez avoir des autobus jaunes qui sont destinés au personnel hotellier et touritiques. Ces autobus parcours tous les hôtel tous les 30 min et les heures selon la période de la journée. Comme j'ai dis il y'a très peu d'autobus pour la population dans les environs de Holguin. L'État utilise donc les Gros camions de sable pour le transport des gens. C'est assez spécial de les voirs suter et embarquer à tous les coins de rues. Je n'avais jamais vu ça. Il faut dire que j'ai conduis une journée de temps lors de notre Safari Jeep.


Je vais continuer un peu plus tard avec mes comparaison. Mon voyage à Cuba a été enrichissant pour moi sur le plan connaissances générales. Je me suis informé auprès de gens qui travaillait à notre hôtel et à Denis notre guide de Safari. Si je me trompe Nicole va me remettre dans le droit chemin. J'ai peut-être été mal informé on ne sais jamais. Moi je répête ce que j'ai appris là...

Nicole merci d'avoir apporté des précisions. J'allais parler de des entreprises privées versus l'État, de l'éducation et de l'embargo Américain sur Cuba. J'ai grandement apprécié ce voyage à Cuba. Les gens sont un peuple fiert et autonome. Ils essaient de se débrouiiller du mieux qu'ils peuvent. Le voyage qui devait être relaxant et banal au départ s'est tourné en un véritable cours d'histoire. J'ai fait comme toi et j'ai questionner un peu tout le monde autour de moi à Cuba. C'est pas pour rien qu'on m'a pris pour un espion avant notre retour au Canada...

Comme j'ai dis ailleur je ne dis pas ici que Cuba est un meilleur endroit pour les voyages. Je veux tout simplement dire que ce peuple est bien différent de nous qui somment pour la plupart des occidentaux vivant pour la plupart dans des pays capitalistes. Nous avons tous et toutes des façons d'agir fort différentes des leurs. Moi je suis le style qui diffère le plus d'eux je crois. J'ai dû m'adapter à eux et assez rapidement à part ça. J'ai aimé mon expérience mais c'est un autre monde complêtement différent de celui dans lequel nous sommes habitué de vivre au Canada. Je les ai bien fait rire et mon voyage a été enrichissant sur toute la ligne. J'ai joué à l'anthropologue là-bas, j'ai appris à connaître leurs: culture, habitudes, éducation, politiques, gouvernement, moyen de transports, développements, nourriture, culture (tabac/rhum), etc.


pour ce qui est de l'éducation comme Nicole a dit elle est gratuite à 100%. les gens ne sont pas obligé de rester sur les bancs d'école. La pluparte des employés du Occidental Grand Playa Turquesa était des bacheleir universitaire. C'était des gens avec beaucoup d'instruction et qui étaient capable de dialoguer aussi bien en espagnol, anglais et parfois français et autres langues comme l'allemand et l'italien. Les employé de notre hotel travail en moyenne 11 mois par année et on un mois de formation sur leur domaine de spécialisation. Ils travaillent 6,jours sur 7 et ont le services de transports à 1 pesos le trajet. Ce n'est pas gratuit mais presque. Tout ce qui est soins de santé est gratuits pour les résidents. Les prescriptions aussi à la pharmacie. Les soins prénataux également. Femmes ont été passer leur écographie lors de notre séjour.

Codition de travail: Tous les cubains recoivent entre 300 et 500 pesos par mois. Que tu sois docteur, paysant, dentiste ou femme de chambre. Les employés à pourboire doivent séparer leurs gains de façon égale avec les autres employé qui travaillent avec eux. Les cadeaux en bien matériel, quand à eux doivent tout d'abord passer par l'employeur( resort hôtel) avant d'être donné...

Un peu d'histoire sur Cuba...
Avant l'embargo...

Les États-Unis et Cuba ont des liens géographiques, économiques et historiques étroits. Cuba fut une colonie espagnole pendant 400 ans, jusqu'à ce que l'Espagne concède le contrôle de l'île aux États-Unis après sa défaite en décembre 1898 dans la guerre entre les deux nations. Les États-Unis ont donné son indépendance à Cuba en 1902 puis gardèrent des rapports privilégiés avec l'île en investissant dans la production de sucre et de tabac, dans le tourisme ainsi qu'en concédant diverses préférences aux importations cubaines.

Le gouvernement des États-Unis a initialement soutenu la révolution cubaine, en reconnaissant le nouveau gouvernement de Fidel Castro le 7 janvier 1959, après la fuite de Batista le 1er janvier. Cependant, les relations entre les deux états se sont très vites détériorées. Le 6 février 1959, un rapport de la Banque Nationale de Cuba consigne le dépôt dans des banques nord-américaines de 424 millions de dollars volés selon elle par des chefs de file batistiens. Pas un seul centime n’a été restitué par les banques américaines. Le nouveau gouvernement procéda à une nationalisation le 17 mai 1959 : la Réforme agraire est décrétée. Elle touche 1'200'000 hectares appartenant à des citoyens ou des sociétés nord-américaines qui furent nationalisés sans compensation.

Le 4 février 1960, l'Union soviétique signe un accord commercial avec Cuba. En mai 1960, 3 raffineries (2 américaines et 1 britannique) refusent de traiter le pétrole importé d'Union Soviétique. Castro les fait saisir.

Le 24 juin 1959, le département d’État convoque une réunion pour informer qu’il « appartenait au gouvernement des États-Unis d’assumer immédiatement une position très ferme à l’encontre de la Loi de Réforme Agraire et de sa mise en œuvre » et que « la meilleure manière d’atteindre le résultat nécessaire était la pression économique ». Pour la première fois est envisagée la suppression de la quote-part de sucre (voir plus bas).

Le 6 avril 1960, Lester D. Mallory, sous-secrétaire d’État adjoint aux Affaires Interaméricaines affirma que « la majorité des cubains soutenait Castro » et qu’il « n’existait pas une opposition politique effective », en ajoutant que « le seul moyen prévisible de réduire le soutient interne passait par le désenchantement et le découragement basés sur l’insatisfaction et les difficultés économiques (…) Tout moyen pour affaiblir la vie économique de Cuba doit être utilisé rapidement (…) : refuser de faire crédit et d’approvisionner Cuba pour diminuer les salaires réels et monétaires dans le but de provoquer la faim, le désespoir et le renversement du gouvernement. »

Le 6 juillet 1960, les États-Unis refusent d'acheter le reliquat du quota sucrier cubain (70 000 tonnes d'une denrée traditionnellement vendue sur ce marché et vitale pour l'économie cubaine). L'URSS se porte acquéreur. Après l'échec de négociations menées avec la médiation du président argentin Frondizi, Cuba nationalise 36 centrales sucrières, les raffineries et la compagnie des téléphones.

Le 16 décembre 1960 : Eisenhower supprime totalement la quote-part de sucre cubain pour les trois premiers mois de 1961. Le 31 mars 1963, le nouveau président Kennedy supprime totalement la quote-part de sucre cubain sur le marché nord-américain pour l’année 1961 (3 millions de tonnes).

Avril 1961 est marqué par un raid aérien contre les aéroports de la Havane et Santiago suivi du débarquement de 1500 mercenaires à la Baie des Cochons. L'opération échoue en 72 heures.


Embargo...

Le 25 janvier 1962, l'Organisation des États Américains (OEA), par 14 voix contre 6 (Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Equateur, Mexique), exclut Cuba. Toutes les relations commerciales, diplomatiques et aériennes entre l'île et les autres pays du continent sont rompues (sauf avec le Mexique). Le blocus est partagé par les alliés occidentaux des États-Unis. Cuba est presque totalement isolé. L'Union soviétique augmenta alors son aide financière à Cuba.

En réponse au rapprochement de Cuba à l'Union soviétique pendant la guerre froide, le président John F. Kennedy a étendu les sanctions en élargissant le champ des restrictions commerciales. Le 3 février 1962, par l’Ordre exécutif présidentiel 3447, est mis en œuvre formellement l’« embargo » total du commerce entre les États-unis et Cuba. Kennedy a imposé des restrictions aux voyages vers l'île. Le 24 mars 1962, le département du Trésor nord-américain annonce l’interdiction de l’entrée sur le territoire nord-américain de tout produit élaboré, totalement ou partiellement, avec des produits d’origine cubaine, même dans un pays tiers. En juillet 1963 entre en vigueur le règlement pour le contrôle des actifs cubains qui interdit toutes les transactions avec Cuba et ordonne le gel des avoirs de l’État cubain aux États-unis. En mai 1964, le département du commerce établit l’interdiction totale des embarcations d’aliments à destination de Cuba, bien que dans la pratique celles-ci ne s’effectuaient déjà plus.

L'embargo américain de 1962 a été renforcé en octobre 1992 (loi Torricelli) puis en 1996 (la loi Helms-Burton). Alors que les États-Unis cherchaient à cette époque à normaliser leurs relations commerciales avec les autres pays communistes, tels que la Chine et le Viêt Nam, un important lobbying des cubains exilés aux États-Unis favorisa le maintien et l'extension des sanctions.

L’embargo sur le commerce agricole avec Cuba est levé après que le cyclone Michelle eu frappé ce pays en novembre 2001.

En 2002 et en 2006, le gouvernement américain a fait des propositions pour arrêter l'embargo, à condition que le régime introduise plus de démocratie dans l'île[2]. En 2006, les États-Unis sont les premiers fournisseurs de produits alimentaires de Cuba[3], preuve que l'embargo est relatif.


Motivations de l'embargo...

Le gouvernement des États-Unis et les anti-castrites motivent l'embargo contre Cuba en disant que Cuba est un État totalitaire communiste, que le gouvernement cubain contrevient à la liberté de culte en favorisant les communautés religieuses qui sont membre du Conseil des Églises Cubaines. Ils reprochent aussi que ces communautés religieuses n'auraient pas libre accès à la presse et que les groupes non enregistrés seraient en bute à différents degrés d'interférences et de répression officielle. Ils reprochent aussi à Castro de contrôler son gouvernement grâce au contrôle qu'il exercerait sur l'armée et d'avoir réprimé sévèrement les opposants au régime. Selon le département d'État américain, les relations entre Cuba et les USA se détériorèrent après l'expropriation des propriétés américaines et l'embargo fut imposé en octobre 1960. Il est aussi reproché au gouvernement cubain de retourner son économie, et après une certaine libéralisation dans les années 90, de la centraliser à nouveau. Selon une étude de Dario Moreno, de l'université internationale de Miami, les exilés cubains de Miami sont majoritairement favorables au maintien du blocus et 60 % d'entre eux soutiennent encore l'idée d'une invasion de l'île[4].

D'après le département d'État américain, les violations des droits de l'homme se feraient dans de nombreux domaines à Cuba, mais elles seraient difficiles à documenter du fait qu'aucune association ne peut travailler à Cuba sans être reconnue par le gouvernement de l'île. En mars 2003, 75 personnes que le département d'État appelle activistes des droits de l'homme furent arrêtées. 14 d'entre elles furent relâchés à fin 2004. En juin 2004, des membres de l'Union européenne imposèrent des mesures de restriction envers Cuba. Ces restrictions furent levées en janvier 2005 dans un effort pour ré-engager le régime à poursuivre la politique européenne encourageant les reformes tout en préparant la transition.

Soulignons toutefois que selon "Le livre noir du communisme, Éditions Robert Laffont, 1997", plus de 100,000 cubains ont connu depuis 1959 les camps et les prisons en raison de leurs opinions, et de 15,000 à 17,000 personnes ont été fusillées.


Effets de l'embargo...

La réglementation de contrôle sur les actifs cubains (Cuban Assets Control Regulations) impose des restrictions sur les importations et les exportations entre Cuba et les États-Unis (cadeaux en nature ou en argent inclus) et sur les autres transactions avec Cuba ou avec des ressortissants cubains. Elle impose un gel total des actifs cubains et des transactions financières entre l'île et les États-Unis. Elle restreint enfin le voyage vers Cuba. En 2004, les restrictions sont toujours en place et sont mises en œuvre par le Service de contrôle des actifs étrangers du Trésor (Office of Foreign Assets Control). Des peines de prison d'au plus dix années de réclusion sont prévues en cas de non respect de l'embargo et l'amende peut atteindre un million de dollars pour les entreprises et 250 000 dollars pour les particuliers.

En 1958, les États-Unis représentaient 67% des exportations cubaines et 70% de ses importations. De son côté, Cuba représentait 3% des exportations américaines et 4% de ses importations, plaçant l'île à la septième place pour les exportations et les importations. Dès les premières années de l'embargo, le commerce officiel entre les deux pays a été totalement éliminé.

Le gouvernement cubain évalue l'effet total de l'embargo à 70 milliards de dollars réduisant la croissance, en prenant en compte les revenus issus des exportations perdues, les coûts supplémentaires des importations (l'île aurait pu acheter des produits américains moins chers). De son côté, la commission du commerce international des États-Unis (U.S. International Trade Commission) estime une perte annuelle de 1,2 milliards de dollars pour les exportateurs. Néanmoins, l'embargo a eu un effet limité sur Cuba durant les premières décennies car l'île bénéficiait d'importantes subventions de la part de l'Union soviétique et des pays du CAEM qui lui fournissaient carburant, biens de consommation et subventions. Pour la seule année 1980, Cuba reçut environ 6 milliards. Cuba avait aussi accès aux marchés des pays soviétiques pour exporter ses produits (principalement le sucre et le nickel)

Une des manifestations les plus visibles de l'embargo est la quasi absence d'automobiles dans les rues de La Havane, la capitale.

L'effondrement du bloc de l'Est en 1989 et de l'Union soviétique deux ans plus tard a conduit à une crise économique à Cuba où l'effet de l'embargo augmenta car il interdit le remplacement d'importations soviétiques par les produits équivalents américains. Cuba a dès lors développé des relations commerciales avec le reste du monde. Malgré les difficultés créées par l'embargo dans les années 1990, Cuba ne s'est pas effondrée, comme l'annonçaient certaines prédictions formulées lors de la fin de l'Union soviétique.

En 1999, les exportations officielles américaines vers l'île s'élèvent à 4,7 milliards de dollars, constituées principalement d'aide médicale et d'autres dons caritatifs. Cuba est 180e sur 180 dans la liste des importateurs de produits agricoles américains en 2000. À la suite des allègements des sanctions depuis 2000, Cuba est 138e en 2001, 45e en 2002 et autour de la 33e place en 2003.

Le nombre de voyageurs américains visitant l'île chaque année est estimé à 80 000, dont 3000 visites d'affaires. Autour d'un milliard de dollars par an est transféré par des cubains vivant aux États-Unis. Ces voyageurs bravent la loi de leur propre pays car les lois des États-Unis leur interdisent de se rendre à Cuba.

Pour les hommes d'affaires, la loi américaine est encore plus draconienne. Ainsi Ry Cooder fut condamné pour sa collaboration dans l'album de musique cubaine "Buena Vista Social Club" à 100'000 dollars d'amende pour avoir enfreind la "America's Trading With The Enemy Act" (loi américaine sur le commerce avec l'ennemi).


Commerce entre les deux nations actuellement ...

Le 30 mai 2007, selon le directeur général d’Alimport (Cuban Food Imports Company), Pedro Alvarez, le volume total du commerce américano-cubain a atteint 2,4 milliards de dollars et que l’importation de produits agricoles a atteint 7,8 millions de tonnes, incluant le riz, les haricots, le maïs, les céréales, les oeufs et le poulet.


Critiques et solidarité...

De nombreuses voix dans la communauté internationale s'élèvent contre cet embargo. Ainsi à l'assemblée générale de l'ONU, de nombreuses résolutions ont été acceptées à une très large majorité sur la nécessité de cesser le blocus des États-Unis contre Cuba.

Bonjour Martin

Merci, je savais déja cette histoire, mais quel courage tu as eu de nous écrire tout cela.
Merci à toi de dévoiler cette partie de Cuba, je pense que ça peut interresser du monde.
En plus ça diversifie le forum .
Bonne journée

Bonjour à tous.
Néanmoins, il y a quelque chose que je ne saisi pas. Comment ce fait-il qu'il y ait des casernes américaines et des prisons américaines sur cette ïle communiste et malgré l'embargo ?
Où est-ce tout simplement :

Les Etats Unis possèdent une petite partie de l'ile comme Guantanamo par ex...
Comme d'hab: tout pour les américains

Bonjour

L'armée américaine a évacué Cuba le 20 mai 1902, l'indépendance de Cuba est formellement reconnue, et la République de Cuba est officiellement créée, mais aux termes de l'amendement Platt, du sénateur américain Hitchcock Platt, les États-Unis conservent des bases navales, – Guantánamo ( prison )et Bahía Honda et sont garants de la constitution, avec le droit d’intervenir dans les affaires du pays, en cas d'effondrement constitutionnel.
Voilà ce que j'ai pu lire.

Alors là les filles, vous "m'estomaquez" par vos connaissances.
Martine, tu devrais enlever le 60 pour le remplacer par érudit.
Je n'en reviens pas. Je vais, ce soir, un caipirina à votre santé même si le temps ne s'y prête pas trop.
Bonne journée à tout le monde.

Mais non Raymu avec internet, tout est facile.
He he, j'en savais un peu mais avec le net, on sait tout.
Plus

Non mais moi aussi je ne savais pas tout cela et internet m'a grandement aidé. Je suis revenu de Cuba avec une nouvelle façon de voir ce pays, qui tente de mieux survivre et de compétitionner avec les pays capitalistes qui l'entourent. Ce pays est en arrière sur plusieurs aspect de dévellopements. Ils sont unique comme Nicole et Martine l'ont déjà dient. Je vais y'retourner un jour approfondir mes connaissances sur eux. Je vais juste arrivé là avec des attentes totalement différentes que celles que j'avais avant le 19 août de cet année. Je vais les comprendre un peu plus. C'est un très beau pays à découvrir pour les gens intéressé. Ils sont très ingénieux, autonomes, drôles et sympathiques même si, ils pensent d'une autre façon que nous sur plusieurs points...


Attention à la techologie ils ne connaissent pas trop ça. Un GPS c'est dangeureux pour eux....

Non je blague mais un peu plus et il encadrait mon GPS. Je l'ai eu de justesse 35 min avant notre décollage pour le Québec...

La prochaine fois il va rester à la maison.