De retour du Palace

Salut à tous,
Me voilà de retour pour vous conter la suite de notre séjour...
Nous nous étions quitté à Dominicus après notre soirée chez Patricio (et non Fabricio
Ayant récupéré le 4x4 de loc (nous avions réservé un pick-up et nous retrouvons avec un Suzuki Grand Vitara, un peu luxueux à mon goût mais qui plait énormément à Martine et aux filles) nous partons à la découverte de l'intérieur de la région par les pistes en direction de Boca de Yuma, en amoureux, les filles restant au club (chois d'ados !)
Nous démarrons vers 7 h 30 (debout depuis 6h, j'ai encore pu profiter de la mer 'déserte' avant le petit déj) et prenons la route jusqu'à la patte d'oie où nous laissons sur notre droite la route pour LA ROMANA et prenons une piste à droite qui longe la route et passe derrière BENERITO.
A la sortie de ce petit village typique nous tournons plein est et nous éloignons de la route à travers des prés dans lesquelles paissent paisiblement des troupeaux de 'vaches' locales.

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Puis la végétation reprend ses droits et le paysage deviens plus sauvage

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Toutes les pistes de cette région finissent en cul de sac sur des petites maisons en bois, habités par des familles dominicaines vivant essentiellement de leur culture et élevage et de ce qu'ils vendent eu marché. Nous en rencontrerons une, en particulier, avec laquelle nous discuterons un moment, car, pour nous permettre de faire demi-tour le paysan nous a ouvert la clé de son champs.
Quatre de ses six enfants et sa femme étaient présents, et nous avons pu leur offrir des casquettes et des peluches (qui ont fait couler quelques larmes de joie sur le visage de la benjamine)
Pas de photos ni de film de ce moment, cela aurait été totalement déplacé (on est pas au zoo) mais un souvenir indélébile d'une vrai rencontre simple et d'un moment de bonheur partagé...

Nous passerons devant d'autres maisons identiques, dont certaines étaient fermées et donc 'filmables' :

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Au nord est de BENERITO c'est la région des 'ranchs', nous en avons vu plusieurs, et pas des ridicules...

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L'élevage de chevaux semble être une activité très développée dans cette partie de la RD, chevaux magnifique guidés sur les chemins par des môme à cru.
Là encore les pistes finissent dans les exploitations, et nous revenons inlassablement vers le nord nous éloignant de notre cap de départ, celui de Boca de Yuma.
Plus au nord, donc, nous arrivons dans les champs de canne à sucre, que l'on peut voir de la route, et nous croisons quelques véhicules locaux :

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Enfin, bloqué par une colline rocheuse nous sommes ramené sur la route peu avant le carrefour où la route se sépare au nord vers Higuey et à l'est vers le Yuma. Qu'importe, ces deux heures passées dans les pistes quelquefois très boueuses, d'autres plus rocheuses nous ont montré le vrai visage de la région de Bayahibe, modeste plus que pauvre et toujours chaleureux...

La route vers Boca de Yuma longe, par le nord, cet escarpement rocheux qui nous a bloqué, faute de pistes, et que nous avons contourné. Quelques kilomètres plus loin, une piste part vers la gauche (juste au niveau de trois croix catholiques en pierre), nous nous y engageons, juste pour quelques kilomètres car, après renseignement, elle conduit à la partie de Boca de Yuma qui est sur la rive gauche du Yuma et nécessite plus de deux heures devenant sur la fin très rocailleuse. Les habitants sont toujours très étonné par notre insistance à vouloir éviter la route, et on les comprend.
Nous arriverons finalement à San Raphaël de Yuma par la route au milieu des cannes à sucre :

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Nous traversons San Raphael par les petites rue en quittant la route à gauche à l'entrée, et repérons la piste (tout de suite à gauche) vers la maison coloniale de Ponce de Leon que nous avons prévu d'aller voir en fin d'après midi. Ce village est mignon et très animé, là encore, pas de misère et toujours autant de bonne humeur, ça doit sûrement venir du soleil...
Nous poursuivons notre route vers Boca, Martine e pris le volant et découvre la boite automatique (c'est pas son truc...). Sans nous en apercevoir, nous avons pris de l'altitude et la route plonge vers la mer à l'approche de la côte (encore plus qu'à Bayahibe). Nous stoppons pour filmer la vue.

C'est là que 'Ben...quelquechose' nous accoste, il est en moto et transporte, comme c'est souvent le cas, une grosse bouteille de gaz. Il nous propose de nous servir de guide et comme la chance sourit aux audacieux, nous acceptons qu'il se joigne à nous pour la journée.
Nous le suivons jusqu'à Boca et nous retrouvons attablés à la terrasse du restaurant qui est le plus proche de la pointe rocheuse du village :

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Des enfants jouent sur les superbes jeux (balançoires, toboggans etc..) sur un revêtement bitumeux souples !!! Cette note d'ultra modernisme en dit long sur l'attention portée aux enfants par les dominicains...
Nous négocions le prix des visites de la journée et du repas et tombons d'accord sur 2000 Pesos (Nous aurions sûrement faire baisser beaucoup plus mais Ben... est trop sympa...)
Il réserve le repas et nous l'emmenons dans le 4x4 pour aller voir la grotte locale. Il suffit de longer la côte rocheuse vers le sud à travers le village pour arriver à un petit parking à 500 m du centre (accessible en voiture). La grotte est 30 mètres de marche, donc beaucoup plus simple d'accès que la Cueva de la Puent à Dominicus, elle est aussi beaucoup moins impressionnante à découvrir, mais Ben nous racontera plusieurs anecdotes sur son histoire qui rendra la visite d'une demi heure très agréable. Je lui ai même appris à se servir de ma caméra pour nous filmer et nous photographier, quelle rigolade.

Nous quittons la grotte et il nous fait traverser le village et se garer devant chez lui... Il sort fièrement du Suzuki devant ses voisins et sa famille et nous invite à entrer chez lui et découvrir un peu de sa vie privée - et ça c'est privé...

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Après une bonne demi-heure chez lui, il nous proposera de déjeuner ici, ce que nous refuserons pour des raisons d'hygiène (nos estomacs européens ne sont pas trop habitués aux bactéries locales...) à contre coeur en prenant bien soin de nous en expliquer pour ne pas les vexer. Nous laissons quelques souvenirs (peluches sur la photos) et descendons au restau ...

Comme d'hab, je limite à une demi journée chaque épisode de mon CR, la suite de la journée c'est donc pour demain...

A plus,

Denis

Du calme Mesdames,

Je ne vous ai pas entendu réagir lorsque l'on vente la beauté des plages de Saona...

Alors pourquoi le faire lorsque je decris celle d'une femme ? Jalouses, peut-être ?

La beauté est faite pour être regardée, la sympathie pour être partagée, le reste est affaire d'amour, et, de ce coté là, Martine (mon épouse) a l'exclusivité, et elle le merite bien.

Ensemble depuis 1978, mariés en 1985 et toujours amoureux fous...
Vous aurez un aperçu de ce que cela veut dire dans le prochain épisode de mon CR, surprise...
Denis

Désolé,
Jai cliqué dans 'nouveau au lieu de 'répondre', résultat il va faloir faire du ménage pour remettre mon post à sa place (Dominicus) voir sortir les posts sur ce sujet brulant pour les regrouper dans un nouveau sujet...
Bon courage
Denis

Voilà, Denis, j'ai fusionné tes remarques avec le sujet Dominicus.

Quelle belle aventure, Denis! J'ai eu l'occasion de faire ce genre de journée découverte souvent lors de nos voyages à Cuba et je dois dire que ce sont pour moi les plus beaux souvenirs de nos voyages. J'ai hâte de lire la suite...

Bien reçu, Jaanin, je fais comme vous voulez...
Merci à toi, Nicole, de me confirmer que la solution de Jaanin te convient mieux et, dans l'affirmative, d'operer le regroupement...
Pour les photos j'utilisais le format specifique 'forum' et cela semblait fonctionner, je vais toutefois me conformer aux spécifications de FABRICE.
A plus
DENIS

Bonjour Denis

Quelle belle ballade tu as fait, que de découvertes.
Sympa la famille dominicaine.
Et merci pour le récit, et les photos.

Salut Mon Poto Frito..

Ne te laisses pas faire..et tu as raison les jolies filles c'est fait pour etre regarde.....
Moi je ne m'en lasse pas..

Amities

Denis, je suis d'accord avec l'idée de Jaanin. Ce serait plus facile de s'y retrouver et les futurs membres pourraient ainsi savoir que les ballades que tu as faites ont comme point de départ Bayahibe. Je m'occupe de regrouper tes sections de compte-rendu ce soir.

Merci de ta compréhension!

Nicole si tu as besoin que je le fasse, il n'y a pas de soucis je peux le faire aussi.
Je pars en rendez vous mais en rentrant si tu veux que je regroupe les sujets de Denis.
Par ordre de parution.
C'est comme tu veux mais comme nous modérons toutes les trois les memes sections maintenant, je peux t'aider.
Tu me dis quoi mais comme tu voulais le faire, je ne me permettrai de le faire sans ton accord.
Bonne après midi
Plus

Salut à tous,Comme promis, la suite de notre journée à Boca de Yuma...
Nous déjeunons donc, à la terrasse du restaurant sur la pointe rocheuse de Boca, d'une grande assiette de crudité, de girelles grillées à la plancha accompagnée de frites, puis d'une coupe de fruits frais (avec, bien sûr, une Présidente).
Nous sommes les seuls clients et même les seuls touristes au village ce jour là, et jouissons donc d'un calme parfait, et de la compagnie de l'habituel merengue ...
Le repas terminé nous nous rapprochons de la petite plage de galets où est abrité la dizaine de bateaux de pêche.

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Elle est juste à l'embouchure du Yuma et fait face à sa soeur jumelle de l'autre côté de la rivière. Pas de pont, les échanges entre les deux rives se font en barques, une petite partie du village étant sur la rive gauche. Un chemin permet d'y accéder, mais il faut 2 bonnes heures pour récupérer la route de Higuey.
L'ambiance rappelle un peu Bayahibe il y a quelques années, avant l'organisation des sorties massives sur les îles et l'implantation des Resorts.
Ben... nous quitte pour aller déjeuner chez lui et nous laisse avec notre pilote qui nous fait embarquer.
Nous sommes toujours seuls, en amoureux, c'est le pied !

Juste en face du village, une autre concentration vivante s'est installée : il s'agit d'une colonie d'aigrettes blanches qui vient nicher dans les rochers. Elles sont plus d'une centaine et couvrent partiellement la petite falaise...
Ca commence bien, très sauvage et authentique, comme on aime :

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Puis la barque s'avance doucement sur le Yuma qui est encaissé entre deux collines couvertes de végétation et ne fait pas plus de vingt mètres de largeur. La flore est superbe :

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et la faune très riche. Un couple de pélicans gris nous accompagne, des hérons et des martins pêcheurs nous regardent passer des berges qui regorgent de petits crabes multicolores, et des rapaces nous surveillent du ciel.
Et puis, les iguanes rhinocéros, sommeillant sur les rochers comme des touristes sur des transats.

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Pas une construction, le calme et la sérénité règnent en maîtres, juste trahis par le ronronnement du petit moteur. La remontée ne prend pas plus d'une vingtaine de minutes car GEORGES a coupé l'accès aux bateaux à moteurs par une barrière naturelle rocheuse.
La nature fait bien les choses et tant que personne n'aura l'idée de proposer cette remontée en canoë, l'amont restera sauvage...

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Nous rebroussons donc chemin et redescendons vers la mer en retrouvant avec autant de plaisir les habitants des lieux qui ne prennent plus garde à nous comme s'ils nous avaient déjà adoptés.
Une dernière prise de l'embouchure :

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Enfin nous débouchons sur l'atlantique qui nous accueille avec tendresse alors qu'il peut être si violent, nous sommes bénis des dieux...

Notre pilote nous fait quitter la côte en direction de la langue de sable au nord, qui est l'unique plage de cette côte, avant celle de PUNTA CANA :


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Elle est déserte, comme je l'espérais, et magnifique malgré les traces des fiestas dominicales que viennent y faire les dominicains (détritus en tous genres concentrés sous la végétations). La langue de sable d'une trentaine de mètres de largeur est, elle, immaculée et bordée de souches d'arbres morts arrachés par les cyclones qui forment des sièges naturels aussi typiques que pratiques, ils serviront de support à la camera pour immortaliser ces instants rares.

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Pour profiter pleinement des lieux je demande au pilote de rentrer au port et de nous laisser une heure de solitude avant de revenir nous chercher. Martine regarde partir la barque avec un peu d'inquiétude, je la rassure en lui montrant les habitations dissimulées dans la végétation qui borde la plage et le chemin qui mène à la plage de galets de l'embouchure.
De plus, je n'ai encore rien versé à Ben..., je ne doute donc pas de son retour.
Nous voilà donc seuls sur cette plage, toute pour nous, dont nous allons user et abuser...
Promenade, baignade et le rêve de tous les amoureux : un petit câlin dans les eaux turquoises - comme au cinéma - avant un petit somme réparateur lovés sur le sable chaud.

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Comme prévu, la silhouette de la barque se dessine au loin.
Elle vient nous arracher à nos rêves et nous ramène tranquillement au port, pas de gilets de sauvetages, de groupes bruyants et de vitesse folles, nous restons en accord avec les lieux, paisibles.

Nous retrouvons Ben..., et lui proposons de nous accompagner à San Raphäel pour visiter la maison coloniale de Ponce de Léon, ce qu'il accepte volontiers.
Il remonte dans le Suzuki avec un plaisir non dissimulé.
La bâtisse, à trois ou quatre kilomètres de piste au nord de San Raphäel, est austère, et elle poussera l'austérité jusqu'à nous refuser l'entrée - Fermé le lundi !
Qu'a cela ne tienne, nous décidons de pousser jusqu'à HIGUEY que nous avions découvert en 1999, histoire de voir les changements...
Ben... continu à déployer des trésors d'imagination et d'ingéniosité pour nous raconter son pays dans sa langue que nous parlons très peu. Nous faisons des gestes dans tout les sens et éclatons de rire à chaque quiproquo. Que du bonheur...
Nous arrivons à HIGUEY sous la pluie, la première du séjour, et qu'elle pluie.. Un véritable orage tropical, comme nous en avons essuyé en Guadeloupe.
Nous resterons donc dans le 4x4 et visiterons au sec, dans une circulation chaotique.
La visibilité est bien réduite par les trombes d'eaux qui ne découragent pas les ados en scooters qui zigzaguent tout de même comme des fous entre les voitures et les camions - je dois être un peu mazo car j'adore la conduite dans ces pays...

Enfin, nous prenons le chemin du retour et raccompagnons Ben... à Boca de Yuma à une allure qui lui fera me demander de prendre les virages moins vite...
Nous lui donnerons un peu plus que prévu, tellement nous avons apprécié sa présence et son acharnement à discuter malgré les difficultés à se comprendre.
Nous reprenons la route de Bayahibe mais filons par la route de LA ROMANA jusqu'à EL LIMON où nous bifurquons à gauche, à l'entrée du village, pour prendre la piste vers Boca de Chavon. Elle longe la rivière qui reste invisible jusqu'aux pylônes de télécommunication. Là, la vue s'ouvre sur l'embouchure du fleuve, la marina et Casa de Campo, sur l'autre rive. Nous apercevons même les bâtiments de Altos de Chavon. Nous descendrons jeter un rapide coup d'oeil au petit village de Boca avant de rentrer au Palace - Je vous en parlerai un peu plus tard, puisque nous le visiterons plus complètement avec le groupe de forumistes constitué pour la remontée du Chavon.
Nous finirons la journée au resto japonais du Palace, à goûter, pour la première fois, aux sushi : résultat, c'est pas notre truc, mais nous avons encore bien rigolé avec nos filles sur ce coup là !

Voilà notre troisième journée terminée avec une moisson de souvenirs qui comble déjà tous nos souhaits. Et ce n'est pas fini...

A très bientôt pour la suite

Denis

PS : Bravo FABRICE pour la nouvelle interface, c'est encore plus convivial.

Merci les filles,
Vous êtes des amours :
belles, intelligentes, généreuses et surtout bosseuses...J'en connais deux qui ne doivent pas se plaindre, les vénards...

Comme quoi, le mariage, ça a du bon..

Bisous

Denis

Les photos m'apparaissent malheureusement floues...

Problème de définition ou problème de navigateur ???

Définition, mon cher Yocatu,
Il ne s'agit pas de photos mais d'images tirés d'un film vidéo, définition à 1.8 millions de pixels et temps d'exposition 1/25 ième (puisque 25 images par secondes sur le film).
Resultat, un leger flou et pas mal de grain, par contre à la difision du film ces inconvénients n'apparaissent pas et l'image est nette grâce à la persistence rétiniénne.
C'est mieux que rien !
Salut
Denis

DenGib18 a écrit:

Définition, mon cher Yocatu,
Il ne s'agit pas de photos mais d'images tirés d'un film vidéo.

Effectivement. Je comprends mieux maintenant.
Et si tu réduisais la taille, tu n'y gagnerais pas en définition ?
En tous cas, bravo pour ton CR.

Merci Denis de nous faire partager tes vacances, et de nous les raconter aussi bien, avec des photos.
En tout cas super compte rendu, comme on les aime.
Plus

Hé ben Denis, on va t'appeler Ducros...tu te décarcasses

Sympa ton CR, n'en dévoile pas trop de tes facéties avec Martine sur une plage déserte...ouh lala !!!

A + pour la suite ...

Encore juste une remarque concernant le regard que l'homme peut avoir envers les jolies femmes.
En Alsace, on dit : l'homme peut chercher de l'appétit ailleurs mais il mange à la maison ....
Cela résume-t-il les propos ?

genial denis, tu es en train de me donner envie de modifier ma vue de mes prochaines vacances en RD, je comprends encore mieux les etincelles dans tes yeux quand tu nous racontait tes periples lors de la remontee du Chavon.
a + pour la suite
amicalement

Salut Sylvie,
Pas tout a fait, car je n'ai pas besoin de regarder ailleurs pour avoir de l'appétit, Martine sait très bien m'en donner...
J'en ai une qui n'est pas mal non plus :
"Ce n'est pas parce qu'on est au régime qu'on ne peut pas regarder le menu..."
Bonne nuite les petits...
A demain
Denis

Denis, loin de moi l'idée de dire ça de Martine, tu as raison, dans tes propos...le contenu du message ne voulait pas dire de manière implicite ce que tu évoques....bon ne dérapons pas , j'arrête là dessus...

Salut Nicole,
Nous avons fait 450 kms au cours des trois jours de loc et, franchement, nous n'avons jamais eu la sensation d'être en danger, contrairement au moments où nous étions passagers des gua-gua...
Autour de Bayahibe, le 4x4 ne se justifie que si l'on quitte la route (qui est maintenant très bonne) et l'on s'enfonce loin sur les pistes. Celles qui desservent les villages sont faisables en véhicule de tourisme.
La location d'un véhicule donne une liberté de choix de destination et de gestion des horaires qui permet d'optimiser le planing de découverte d'une journée de ballade et permet d'aller où ne vont pas (ou peu) les autres touristes : c'est ce que nous aimons par dessus tout.
Cela dit, c'est à chacun de décider en toute connaissance de cause et en fonction de ses aspirations...
A plus.
Denis